jeudi 3 juin 2010

27/05/2010 - CAP FINISTERRE



Le dernier jour, mon sac à main est volé. J’avais déjà perdu mes lunettes de soleil, ma gourde, mon bâton de marche, quelques chapeaux, et maintenant mon Compostelle, mes cartes et mon argent. J’ai encore mes dessins.
Andonin devient mon ange gardien, il me prête de l’argent, m’accompagne au commissariat, et prend le train vers Hendaye avec moi.
Il sort à Donostia, où il reprend le cours de sa vie.
Je le dessine dans le train. On est tout les deux épuisés.

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